Il est des réveils plus difficiles que d’autres, mais pour les Viriatis, celui de ce lundi 3 juin a été un peu plus « douloureux » que les autres. La nuit n’a pas été blanche en raison du « blues du dimanche soir ». Ni à cause d’une gueule de bois après avoir fêté des victoires. Non le club tango a du se résoudre, dans ce week end, par 2 fois, voir ses adversaires célébrer la victoire.

Le « sale » week end avait commencé avec les U18 filles. En route pour un triplé historique (champion 2022 (R2), 2023 (R1)), les filles de Maxime Vasselin affrontaient Saint Priest pour un 3e titre de rang. Devant durant 30′ (16-13 ; 31-30 ; 51-45), Viriat a du céder dans le dernier quart temps (23-9 pour les Lyonnaises) et s’incliner 68-60.
L’équipe de Viriat, plus jeune que son homologue Lyonnaise, voit un titre lui échapper et le triplé par la même occasion.
Mais les tangos n’ont pas à rougir de leur prestation, loin de là, et avec leur potentiel, elles pourront se refaire la saison prochaine en U18 ou séniors pour les unes ou les autres. Maud Chanel a été élue MVP de la rencontre, mais elle aurait volontiers changé son collier contre une belle coupe.

Le dimanche, ce sont les garçons qui étaient sur le pont face à Saint Amour. Et là encore, après avoir mené durant 30 minutes, les tangos ont baissé le pied dans les 10 dernières minutes et vu Saint Amour arracher la victoire.

Comme il est narré sur le site du BC Viriat : « mener n’est pas gagner » ! Mais le club Viriati reviendra certainement encore plus fort la saison prochaine. Nous pouvons en être certains.

Bravo à l’ensemble du club pour ses résultats cette saison, malgré ces 2 finales perdues.