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Marraine Stef

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Pour ce premier open PRF, Stéphanie Comte en était la marraine. A l’issue de son match arbitré à Caluire le dimanche, elle s’est rendu à Saint André de Corcy pour assister à la dernière rencontre de la journée entre le BC Dombes et Confrançon.

L’occasion pour Martine Bergerot de la présenter et de la remercier pour tout ce qu’elle fait pour le basket féminin dans l’Ain comme vous pouvez le découvrir ci-dessous

Stéphanie Comte a commencé le basket toute jeune. Et c’est à l’âge de 6 ans qu’elle prend sa première licence. Toutes ses copines étaient au basket et pour ne pas s’ennuyer, elle les a suivies.

Si toutes ses copines ont arrêté depuis, ce n’est pas le cas de Stéphanie qui foule les parquets départementaux, régionaux et nationaux depuis 1993.

A tout juste 16 ans elle intègre l’équipe 1 du Culoz BC, alors en Nationale 2, sous la coupe de Ludmila Aucler et Pierre Laloge.

Elle disputera 4 saisons en NF1 avec Jean Pierre Dequatre comme coach. Depuis le retrait de l’équipe au haut niveau en 2016, Stéphanie entraîne et joue avec les séniors filles en championnat de ligue. Elle évolue d’ailleurs avec de nombreuses filles qu’elles a entraîné dans les catégories jeunes (non, on ne dis pas qu’elle commence à être âgée)

En septembre 2004 elle est embauchée au sein du club de son cœur comme apprentie, puis comme agent de développement.

Sous ce statut, elle intervient auprès des écoles, s’occupe de l’école mini basket et d’autres équipes de jeunes.

Toujours intéressée pour se former, elle est devenue animatrice du basket santé et s’apprête à suivre la formation « micro-basket ».

Femme sur tous les terrains, Stéphanie est aussi arbitre. En 2009 elle est officielle départemental, puis régional en 2017. Depuis 2 ans elle siffle en championnat de France et n’oublie pas son club, ni ceux de la CTC Bugey sud, où elle s’occupe de l’école d’arbitrage.

Stéphanie est une véritable personnalité du basket départemental qui colle parfaitement à l’OPEN mis en place cette année et il nous semblait tout naturel qu’elle en soit la marraine.